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FFTIR : des licenciés sans licence !
mardi 7 septembre 2010
Les nouvelles licences sont sorties sans le prénom du licencié et le code à barres d’identification. De ce fait elles sont inexploitables et il faut les détruire pour en imprimer 130 000 nouvelles.
Un ancien dirigeant de la FFTir a déclaré "qu’il n’avait jamais vu une telle pagaille en début de saison sportive" D’ores et déjà il est juridiquement impossible de délivrer les précieux "avis favorables" indispensable pour l’obtention d’une autorisation : en effet, sans le document de licence, le licencié ne peut prouver qu’il est licencié.
Georges Durand explique les raisons de ce dysfonctionnement
Gouvernance du président Jean Richard Germont : Manque de maîtrise sur les objectifs donnés, nombreux licenciements, manque de confiance envers le personnel et du personnel envers les dirigeants ce qui génère une mauvaise ambiance de travail,
Responsabilités : Multiples et à cerner en fonction des responsabilités de chacun. A notre connaissance, pour la gestion des licences c’est le nouveau DAF qui a signé le bon à tirer après en avoir averti les dirigeants (JRG et MB).
Coût financier de l’opération défectueuse des licences : il y a des coûts directs et indirects qu’il conviendra de chiffrer, vraisemblablement très important. Par ailleurs, d’après certaines rumeurs, le déficit budgétaire de la fédération pour de l’ensemble de l’année serait très important !
Les protestations :
La ligue Dauphiné Savoie,
La ligue de l’Ile de France,
Le 2 août au moment d’envoyer les licences, le Président de la ligue Ile de France s’est aperçu que les licences étaient incomplètes. La FFTir a arrêté in-extrémis l’envoie à toutes les ligues : Il semble que le nouveau directeur administratif ait signé le bon à tirer sans avoir remarqué des anomalies, pourtant flagrantes : absence de prénom et de code à barres.
En effet le président Jean Richard Germont venait de licencier quelques jours auparavant J-Luc Collignon (responsable, particulièrement consciencieux, de la gestion des licences) dont le seul reproche, dans cette époque tumultueuse, pourrait être d’avoir été embauché par Philippe Crochard (le secrétaire général de l’époque). Or il fallait un bouc émissaire JR Germont l’a trouvé en lui imputant notamment cette faute qu’il n’a pas pu commettre puisqu’il n’était déjà plus salarié de la fédération. |