Patrick LOUIS :
Les lobbys anti armes se trompent de combat. La législation contraint ceux qui veulent bien lui obéir c’est-à-dire les braves gens. Les armes dangereuses sont dans les mains des malfrats et mafieux qui eux ne se soucient absolument pas des directives et législations aussi dures soit elles. La priorité de l’action publique doit être de démanteler le marché noir des armes de guerre. Il faut cesser d’empiéter systématiquement sur les libertés des citoyens et au contraire se préoccuper des vrais malfrats qui se moquent de l’impuissance publique. La formation des citoyens au tir sportif est une école de discipline qu’il convient de favoriser.